Par crainte des Gilets jaunes, le Maire de Lapalisse a déposé cette semaine en catimini une gerbe au pied du Monument en l'honneur des victimes du Coup d'Etat du 2 decembre 1851. Quel geste républicain ! Quel courage politique ! Quelle duplicité ! Preuve est maintenant faite que ce triste sire se moque du peuple.
Cela dit, que penser des Gilets jaunes lapalissois qui se sont donnés comme leader un ancien adjoint répudié de la clique de Jacques de Chabannes ? Renvoyons ces deux hommes dos à dos, qu'ils lavent leur linge sale en famille.
Même si cette lutte pour vivre plus dignement est compréhensible et légitime, elle sera malheureusement sans lendemains qui chantent, sans issue. Je crains que cette partie de la population du Pays lapalissois ne sorte de ce combat complètement rincée et ne sombre encore un peu plus dans la précarité. Sans vision globale, sans discours politique cohérent, Lapalisse risque de se replier encore un peu plus sur elle-même. Cette lutte laissera des traces sociales marquées et des rancœurs tenaces. Ce n'est certainement pas en organisant des Sons et Lumières coûteux et des Embouteillages automnaux dispendieux que les plaies se refermeront. Seule, à l'échelle locale, une fiscalité avantageuse pour les entreprises et une véritable politique visant à soutenir les petits commerces permettraient de lutter efficacement contre la paupérisation de Lapalisse.
Cela dit, que penser des Gilets jaunes lapalissois qui se sont donnés comme leader un ancien adjoint répudié de la clique de Jacques de Chabannes ? Renvoyons ces deux hommes dos à dos, qu'ils lavent leur linge sale en famille.
Même si cette lutte pour vivre plus dignement est compréhensible et légitime, elle sera malheureusement sans lendemains qui chantent, sans issue. Je crains que cette partie de la population du Pays lapalissois ne sorte de ce combat complètement rincée et ne sombre encore un peu plus dans la précarité. Sans vision globale, sans discours politique cohérent, Lapalisse risque de se replier encore un peu plus sur elle-même. Cette lutte laissera des traces sociales marquées et des rancœurs tenaces. Ce n'est certainement pas en organisant des Sons et Lumières coûteux et des Embouteillages automnaux dispendieux que les plaies se refermeront. Seule, à l'échelle locale, une fiscalité avantageuse pour les entreprises et une véritable politique visant à soutenir les petits commerces permettraient de lutter efficacement contre la paupérisation de Lapalisse.